Nous voici à Bordeaux.

J’y suis venu quelques fois et y ai même acheté 2 immeubles en périphérie (à Floirac et à Mérignac) mais je connais mal la ville et le centre ville.

C’est une bien jolie ville chargée d’histoire. Le centre est fascinant avec ses petites ruelles, ses monuments et une vie trépidante.

Nous quittons notre charmant loft à trois (Laure est resté dormir) et attaquons par la place Saint Michel puis le Marché des Capucins.

C’est fascinant comme endroit, très populaire (et touristique) mais surtout c’est un melting pot assez rare de gens de toutes origines et statut social. Probablement comme on voudrait en voir plus.

Nous nous sustentons avec quelques tapas et quelques huitres et reprenons notre vadrouille à travers les ruelles jusqu’à la place Saint Pierre, où nous retrouvons Laure.

Après avoir nourri notre aînée, nous repartons pour visiter le centre de Bordeaux, non sans quelques batailles de glaçons et de fontaine dès que nous en trouvons une.

Ce qu’on avait lu est vrai, le centre ville est en remarquable état, avec tant de bâtiments en pierre. Quelle harmonie ! Nous tombons sincèrement sous le charme de cette ville.

Nous marchons beaucoup et voyons la place du Parlement, Notre Dame, les allées de Tourny puis nous dirigeons vers le jardin public, passant devant le monument aux Girondins et sa colonne.

Nous marquons une pause réparatrice dans le jardin public (le central parc bordelais) en écoutant de la musique. Puis nous repartons jusqu’à la Halle des Chartrons ou nous nous posons au bar Le Rève, tout un programme.

C’est le point le plus éloigné de notre itinéraire et après la visite de Saint Louis des Chartrons, nous repartons le long de la Garonne pour revenir jusqu’à la place Saint Michel , début de notre itinéraire que Laure a manqué ou nous attablons pour prendre l’apéro avec quelques tapas… qui finalement nous feront notre diner.

Retour au loft pour un repos bien mérité après 15.500 pas d’après l’iphone de Chrystel.

On retrouve le rythme de Londres (mais sans la relève de la garde).

To be continued

PDBM