Nous quittons la maison de rêve de Samara à regrets non sans s’être promis avec Elisabeth (la propriétaire) et Sandra (la gardienne) que nous reviendrions !

Nous passons à nouveau devant la très belle et très grande plage de Carillo, toujours aussi déserte.
C’est fou ici ce que les plages sont immenses, belles … et quasi désertes !
On est très très loin de la foule sur nos plages françaises !

Ici, la signalisation routière incite à la prudence face aux traversées … de crabes !

Première halte : la plage de Samara, histoire de voir quand même à quoi ressemble ce petit coin que les guides et les costariciens décrivent comme un petit coin de paradis.
C’est effectivement une jolie plage … moins jolie que celle de Carillo mais sympa avec tous ses clubs de surf.

Après un petit desayuno sur la plage de Samara, nous nous mettons en route pour 3h et 140 km à travers la péninsule de Nicoya (paysages de moyenne montagne), route tranquille.

Puis nous montons … montons … montons …jusqu’à la bien nommée Monteverde en empruntant des routes de montagne caillouteuses voire défoncées et non asphaltées, sinueuses, étroites, sans rambardes bien sur !
Et sur lesquelles bien entendu les costariciens roulent à toute vitesse, de préférence en moto, sans casque.

Waze signalait quelques nids de poule … alors que la route entière était un nid de poule !
Les endroits correctement bitumés seraient plus à signaler.

Séquence émotions garantie !
Les 20 derniers km ont duré une heure de temps et 1000 tonnes de sueurs froides 🙂

Mais le paysage était fantastique : paysage de montagne, nous sommes à plus de 1000 m d’altitude, très vert, sauvage, la région est couverte de forêts tropicales très humides (rainforest en anglais, tout est dit)

Nous arrivons enfin à Santa Elena de Monteverde, un petit village de montagne très touristique car entouré de parcs nationaux très connus pour l’observation de la forêt nuageuse et point de départ d’activités à sensations fortes

Notre maison est un charmant chalet de montagne à 1311 m d’altitude. Pas du tout les mêmes températures que celles que nous avons connues jusqu’ici ! On a essayé de faire marcher le poêle, plus pour le fun que par nécessité, mais sans succès !