Biarritz Août 2018

Nous voici à Biarritz. Ville impériale. Pas de relève de la garde. Je suis déçu mais tant pis.

Qu’on est bien dans cette petite maison. Trois ans maintenant qu’on l’a reprise en main ; ça semble si court et si long…

Bon, le jardin est une jungle. Mmmm, groumpf, groumpf…

Sinon, ce séjour est une joli succession de relâche intense (disons que les filles se lèvent entre 11h00 et 13h00, selon les générations) et des moments plus actifs, dont :

–          Baignade dans les vagues

–          Exercice de tir avec les pistolets à billes gagnés à la fête des Tuileries

–          Badmington

–          Jokari ( faut faire gaffe, c’est vachement dangereux !)

–          Fléchettes

–          Uno

–          Dobble

–          Apéros sur la plage en regardant le coucher de soleil

–          Etc…

Le 15 août, cap sur Biarritz pour notre soirée spéciale : la sainte Marie, protectrice de Biarritz, bien sûr, et nos 25 ans de mariage. Bon, faut savoir que le 15 août, on ne va pas à Biarritz en voiture. On y va à pied… Pas grave pour nos héros… à Londres, ils ont vu pire.

Néanmoins, en chemin, un petit apéro réparateur aux 100 marches permet à nos héros de se requinquer en profitant de la vue au dessus de la côte des Basques.

Sur le chemin, coup de bol (ou de génie), la boutique 64 est encore ouverte. Bon, bin, allez on a 15 min. 3 marinières, un polo, un chemisier plus tard, nous finissons notre chemin jusqu’à la  Grand plage.

Bon choix, notre restaurant, le Galion, est certainement une des meilleures vues sur le feu d’artifice. C’est magique. Les explosions et les bouquets, les palmiers, les méduses, les boules de feu se succèdent pour faire un des meilleurs feux d’artifice que nous ayons vus. Le service est sympa, le menu fort bien. Quelle soirée !

Le chemin de retour semble long, long, long…

Le lendemain, avec notre nouveau filet à crabillon (le filet qui sert aussi bien à pêcher les crabes que chasser le papillons – c’est Marie qui l’a inventé), nous pêchons 7 crabes ! Une pêche miraculeuse, quasi biblique.

Puis vendredi, une journée remplie ou il faut veiller sur la maison, gonfler les pneus de la Mégane, changer la bouteille de gaz, échanger la box Bouygues après avoir géré l’intervention du technicien France Télécom qui teste toute l’installation du Pavillon jusqu’à découvrir que c’est la nouvelle installation de la maison principale qui causait le problème (sic).

Le soir petit diner au restau Milady Beach qui a succédé au Bounty. C’est bon et le service très gentil.

Et déjà samedi pointe son nez, on n’a pas vu passer le temps mais il est temps pour nos héros de reprendre la route ; non sans avoir avant libéré les 7 crabes dans l’océan. Et oh, on n’est pas des tueurs non plus.

On the road again !

PDBM